L’obésité augmente non seulement le risque de complications lors d’une infection grippale, mais peut probablement également jouer un rôle dans la propagation du virus de la grippe. Cela ressort d’une étude américaine publiée dans le Journal of Infectious Diseases.

Une revue de littérature publiée dans Vaccine a examiné la sécurité du vaccin contre l’hépatite B. Une attention particulière a été portée à l’existence possible d’un lien avec les maladies auto-immunes, comme le soutiennent certains rapports de cas.

Les patients admis dans une unité de soins intensifs (USI) en raison de la gravité des symptômes de la grippe ont un risque de 15 pour cent de développer une infection pulmonaire fongique à Aspergillus. Normalement, ce risque chez les patients en USI n’est que d’environ 5%. C’est ce que montre une étude de cohorte rétrospective dans sept hôpitaux belges et néerlandais, dont les résultats sont publiés dans The Lancet Respiratory Medicine.

Une étude de cohorte rétrospective nationale en Finlande, publiée dans Vaccine, a étudié la relation possible entre le vaccin bivalent contre l’HPV et 38 maladies auto-immunes et syndromes cliniques.

La vaccination prénatale, pendant la grossesse, avec le vaccin dTpa n’augmente pas le risque de trouble du spectre de l’autisme, selon une étude de cohorte rétrospective publiée dans Pediatrics.

Deux études dont les résultats ont été publiés dans Clinical Infectious Diseases et Vaccine, se sont intéressées à l’efficacité du vaccin antigrippal dans les mois suivant la vaccination. Les deux études concluent que le vaccin ne devrait pas être administré trop tôt.

Une étude cas-témoins, commanditée par le National Cancer Institute aux États-Unis et publiée dans The Lancet Child & Adolescent Health, a examiné l’efficacité, dans la prévention des néoplasies cervicales intraépithéliales (CIN), d’une vaccination de rattrapage avec le vaccin quadrivalent contre l’HPV chez les filles et les femmes entre 13 et 26 ans.

Une RCT multicentrique publiée dans Clinical Infectious Diseases a examiné l’immunogénicité et la sécurité de la vaccination des femmes enceintes contre la coqueluche (dTpa), et l’effet sur la réponse immunitaire lors de la vaccination infantile à 2, 4 et 6 mois et du rappel à 12 mois.